Bédéis Causa
Saturday 18 April 2009Bon ben voilà, hier a la remise des prix Bédéis Causa du Festival de la bande dessinée francophone de Québec, je me suis mérité les deux prix dans lesquels j’étais en nomination. Soit: Le Prix Réal-Fillion, décerné à l’auteur québécois s’étant le plus illustré avec son premier album professionnel, et le Grand Prix de la ville de Québec, remis au meilleur album d’un auteur québécois publié au Québec.
Puisque j’avais les mains moites et les oreilles rouges en raison de ma timidité, je n’étais pas en état de faire de long discours. Il y a quand même certains remerciements qui auraient valu la peine d’être faits:
Merci aux 400 Coups, en particulier à Serge Théroux et Marcel Jean qui ont embarqué dans ce projet et qui ont accepté de mettre les ressources nécessaires pour en assurer la promotion.
Merci à Jimmy Beaulieu qui était mon éditeur et qui m’a laissé mener cette barque exactement comme je le souhaitais. Longue vie à Colosse!
Merci à Patricia Lamy. La b.d. au Québec n’a pas souvent la chance de recevoir une couverture médiatique aussi foisonnante que celle dont j’ai bénéficié. C’est en grande partie grâce à elle.
Merci aussi à toute l’équipe des 400 coups. C’est vraiment plaisant de travailler avec vous.
Merci à mes pré-lecteurs, Val, Félix et particulièrement Michel Giguère, mon ancien prof et désormais ami. Grâce à sa rigueur et a ses pertinentes remises en question, j’ai pu arriver à un résultat dont je suis fier.
Merci à Julie, pour m’endurer encore et toujours. C’est pas tous les jours facile de vivre avec un quasi-autiste qui ne pense qu’à retourner dans ses univers de bonhomme pas de nez.
Un petit dernier merci à tous les éditeurs du Québec qui se sont mis à publier de belles et bonnes bandes dessinées, plus intimistes et qui n’essaient pas de copier les recettes d’ailleurs. C’est vous qui m’avez donner le goût de me remettre à faire de la b.d.
Voilà, ça fait pas mal le tour.
