24 March 2008
Une entrevue faite à une agence de presse canadienne a été reprise dans trois quotidiens anglophones: The Gazette, the Ottawa Citizen et le National Post. Je n’ai pas mis le lien du Ottawa Citizen puisque c’est le même article. En plus, dans The Gazette l’article est en page A2 alors qu’elle n’est qu’en A5 dans le quotidien d’Ottawa. Les lecteurs de la Gazette seront donc informés beaucoup plus rapidement.
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23 March 2008
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22 March 2008
Premières critiques pour Burquette. Le Devoir d’aujourd’hui et La Presse. Superbe article de Rima Elkouri
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12 March 2008
Voici une des entreprises qui m’ont motivé à créer un blog: faire des chroniques en dessin de mes restaurants préférés. Ceci est ma première tentative. Le but est de dessiner d’après modèle davantage (et mieux) ainsi que de développer ma prose. Pour le deuxième point c’est pas gagné, c’est plus difficile qu’il n’y paraît de bien décrire un restaurant et la bouffe sans tomber dans les clichés. J’aspire ce faisant à devenir le Stéphanie Bois-Houde du papier Camson, le Marie-Claude Lortie du crayon HB ou le Alix Renaud du marqueur noir à pointe 0.3.
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4 March 2008
En librairie dès le 18 mars.
Pour en voir des extraits, on clique ici
Pour savoir ce qu’en disent Les éditions 400 coups, on lit ce qui suit:
Un ardent militant gauchiste élève seule Alberte, sa jeune adolescente. À son grand désespoir, celle-ci est un chef d’oeuvre de superficialité. Elle vit de plein pied dans le monde consumériste, ses rites (magasinage, gadgets, grandes marques, téléréalité…) et ses idoles (Justin Timberlake, Ricky Martin, Britney Spears…). Pour tenter de remédier à la situation, il décide d’imposer à sa fille le port permanent de la Burqua. Il croit qu’il court-circuitera ainsi les mécanismes despotiques que provoque le culte des apparences, favorisant l’adhesion d’Alberte aux «vraies» valeurs. De son école jusqu’au plateau de l’émission Tout le monde en parle, en passant par une visite chez un aïeul catholique et une fugue dans la grande ville à la recherche de sa mère stip-teaseuse, Alberte se verra contrainte de couvrir ses vêtements griffés et ses strings apparents d’un grand drap étouffant. Sa popularité (à défaut de ses allégeances
socioculturelles) va connaître une substantielle métamorphose. Puisant à même le tourbillon de l’actualité québécoise des dernières années, Francis Desharnais distille, dans une forme toute légère et pétillante, une comédie humaine aussi drôle qu’élégante, aussi intelligente qu’acidulée.
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